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Ma ressource la plus stratégique, c’est moi !

Mabé Funk • mai 26, 2020

Ma ressource la plus stratégique, c’est moi !

Je ne suis plus moi-même, je suis las des altérations de ma personnalité, je me pose des questions, je me remets en question, j’identifie des besoins de bien-être … 
En faisant un bilan de vie, la cible de nos souhaits apparaît confusément dans la plupart des cas. Et ensuite, comment faisons-nous pour transformer cette cible floue en objectifs sans modèle référence et sans expérience ?

C’est à ce moment qu’il est nécessaire de se rappeler quelques réalités simples : l’histoire que je connais le mieux, celle dont je maîtrise les dédales et les rebondissements, c’est la mienne … 

Cette histoire personnelle ainsi que celle du récit familial de mes parents que je vis depuis l’enfance, celle de la construction de mon personnage adulte, celle de la relation établie avec mes enfants ou petits-enfants parfois, j’en suis l’unique propriétaire !

A chaque épisode de cette saga, je peux me voir telle que j’ai été, percevoir mes projections d’hier ou imaginer l’idéal qui m’animait hier ou les valeurs que j’aimerais incarner aujourd’hui. 

C’est précisément cette histoire qui a construit mon moi et qui lui donne un caractère singulier, c’est cette histoire personnelle qui constitue la ressource clé d’une évolution adaptée à mes besoins.

 

Pour avancer ici et maintenant vers mon idéal, il ne s’agit donc pas de s’épuiser à être « parfaite » en cherchant à reproduire une histoire qui est celle de quelqu’un d’autre ou à dupliquer un modèle unique vulgarisé par les médias. 

Il est beaucoup plus efficient de s’efforcer à rester soi-même, à visualiser une traduction concrète de cet idéal et à trouver une attitude adaptée à cet objectif dans les principales situations de vie où je me sens challengée. 
 
Si nos valeurs personnelles sont tirées de notre histoire, alors il est nécessaire de les identifier et de les incarner pour progresser vers notre besoin de paix avec nous-même pour aborder les autres avec sérénité. 
 
Dans tous les cas, c’est un des enseignements à tirer de toutes les personnes inspirantes, femmes ou hommes, qui sont parvenues à quelque notoriété universelle (Gandhi, Rosa Parks, Mandela, …).
 ces personnes sont d’abord restées fidèles à elles-mêmes, elles ont « fait » à partir de ce qu’elles sont, quelle que soit la norme du moment.
Action. Changez de mental et de focale :
 • Ne vous dites pas : je suis ce que j’ai été, ça ne peut pas changer …
 • Dîtes vous : je suis ce que je veux être aujourd’hui et ce que je fais
Prenez appui sur vos actions pour vous rapprocher de votre idéal ! 

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Constats Nous avons une bonne conscience de nos qualités et de nos défauts, ceux que nous pouvons citer publiquement comme ceux que nous nous reconnaissons intérieurement. En marge de ces deux catégories, il existe pourtant une zone grise que l’on n’arrive pas à nous avouer clairement alors qu’elle émerge fréquemment dans nos réactions et comportements : c’est notre part d’ombre. En effet, combien de fois, sans raison apparente, avons-nous été agressifs avec telle ou telle autre personne, sans le vouloir vraiment ? Ne nous arrive-t-il pas de nous poster en mode Attaque/Défense, en entrant dans un espace rempli de bienveillance et de bonne humeur donc sans que la situation le justifie ? Mieux que l’étonnement, il nous arrive même de regretter notre attitude, mais sans aller plus loin.
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On ne peut parler d'efficacité sans parler de la procrastination. Je pense vraiment que suivant la sensibilité, les intérêts et les aisances de chacun, tout le monde procrastine. En ce qui me concerne, s'était devenu un sport national. J'avais tendance à tout repousser au plus loin possible de sorte à ce que tout ce qui était important devenait ultra urgent. Quand j'étais étudiant, j'étais même fier de dire que je travaillais parfaitement bien dans l'urgence. Qu'il n'était pas nécessaire d'aller perdre son temps dans des cours ennuyeux et que c'était plus agréable d'aller flâner ici et là à refaire le monde. Ça avait le don d'agacer les bons élèves qui ne voyaient en moi qu'un jeune insolent pour qui la roue finirait bien par mal tourner. Ce n'est que bien plus tard que j'ai compris que nos négligences nous amènent toujours à en payer le prix. J'ai aussi compris, qu'au moment de régler sa facture, il y avait 2 façons de le faire: - Responsable: Avoir fait un choix conscient au préalable et être en mesure d'en supporter les conséquences sans trop de heurts. - Irresponsable: S'être laissé aller par faiblesse et finir par se prendre un mur avec des conséquences parfois désastreuses sur notre vie. Tout s'apprécie avec le temps ! Et c'est pour cela que j'aime beaucoup le terme TEMPORISATION plutôt que procrastination. Comme il s'agit d'être plus efficace, je vous expose une réflexion sur des profils de temporisateurs en espérant que cela vous apporte une certaine conscience apte à un changement positif.
par Grégory Petr 20 avr., 2020
Chemin de vie Tout est changement dans la vie : soit on s’améliore soit on régresse. Il est très difficile de stagner. La plupart des gens pensent qu’ils apprennent jusqu’à 25/30 ans et qu'après ils mettent en application ce qu’ils ont appris. Lorsque l’on fait des études, on est dans l’apprentissage, puis on commence une carrière et on apprend du monde de l’entreprise. Que l'on mette en application ou pas ce qu’on a vu en cours, on est toujours en phase de découverte. Puis vient la période où l’on est dans notre confort. Cette phase s’apparente plus à une période de stagnation et pourtant c’est ici tout particulièrement qu’il faut à mon sens prendre les bonnes directions.
Se développer ou régresser?
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Vous êtes sur une trame de fond qui peut être ascendante ou descendante à vous de la voir. Je suis juste là pour la mettre en conscience. Ce delta peut être très fin. La progression linéaire de 1 n’existe pas. Vous êtes soit à 1,001% ou soit à 0,999% sur une échelle courte ça n’est pas perceptible mais uniquement sur le long terme.
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