Notre attitude face à la vie

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Notre attitude face à la vie

Grégory Petr • avr. 20, 2020

Chemin de vie

Tout est changement dans la vie : soit on s’améliore soit on régresse. Il est très difficile de stagner. La plupart des gens pensent qu’ils apprennent jusqu’à 25/30 ans et qu'après ils mettent en application ce qu’ils ont appris.

Lorsque l’on fait des études, on est dans l’apprentissage, puis on commence une carrière et on apprend du monde de l’entreprise. Que l'on mette en application ou pas ce qu’on a vu en cours, on est toujours en phase de découverte.

Puis vient la période où l’on est dans notre confort. Cette phase s’apparente plus à une période de stagnation et pourtant c’est ici tout particulièrement qu’il faut à mon sens prendre les bonnes directions.

En clair notre nature a toujours tendance à nous orienter sur du confort, de la facilité. C’est bien plus rassurant d’être dans le connu que dans l’inconnu.

Mais est-ce que ça nous fait évoluer ? Est-ce que ça nous challenge ?

La vie ressemble beaucoup à un jeu où l’on gagne des points d’évolution pour avancer. Les chemins ne sont pas égaux et réguliers. Il y a ceux qui ont fait des études poussées et qui en ont tellement bavé à une certaine époque, qu’ils relâchent la pression et se contentent de leur statut pour vivre la vie qu’ils désirent, sans trop remettre en question le système.

S’exposer

Lorsqu’on s’expose dans la vie, on affirme ses idées, on remet en question des pans de son existence, on va de l’avant et on choisit l’action au risque d’échouer ou de réussir. Au risque d’être critiqué ou applaudi. Au risque de prendre le mauvais chemin ou la voie rapide.

Ce qui est sûr, c’est qu’en choisissant de s’exposer nous nous ouvrons les portes de l’évolution. Ce n’est pas toujours agréable de s’exposer mais c’est pour moi une grande nécessité dans un monde qui évolue bien plus rapidement que ce que l’on croit percevoir.

Il y a ceux qui n’ont rien foutu et qui luttent tous les jours pour survivre dans ce monde. Et il y a aussi ceux qui ont pris plus de temps et qui sont acharnés à apprendre et à évoluer et vont se remettre en question et continuer à avancer. Il y a malgré tout beaucoup de modèles, l’idée n’est pas de tous les citer mais plutôt de prendre conscience de notre attitude face à la vie.

Alors êtes-vous plutôt à vous exposer ou vous renfermer ?

Se refermer

Dans beaucoup de cas, chacun préfère son confort à l’exposition aux autres, aux critiques et à l’évolution. Être dans son confort c’est connaître parfaitement son environnement, c’est maîtriser son activité, rester dans ses habitudes bien connues, fréquenter toujours les mêmes personnes etc.

Avoir de la stabilité c’est bien mais garder trop de confort dans un monde qui bouge vite, c’est prendre le risque d’être surpris et que la vie nous tombe dessus. C’est prendre le risque de ne plus être à la page, d’être dépassé par les évènements et de devoir un jour où l’autre courir après le train. C’est aussi pour moi se mettre des limites à notre réactivité et encourir un risque non visible bien plus grand que celui de l’exposition à la vie elle-même.

Que voulez-vous ?

La question revient à se dire : suis-je le véritable acteur de ma vie ou suis-je le confort incarné sur cette Terre ?

Sans être le téméraire qui cherche à défier les lois de la nature, je pense qu’on devrait tous par moment réinitialiser notre système, se poser des questions sur notre rôle, notre existence, nos choix de vie.

Est-ce que vos objectifs sont à la hauteur de vos attentes ? Et sont-ils à la hauteur de vos actions ?

Provoquez la vie, allez de l’avant et regardez ce que vous avez envie de faire et faites-le, quoiqu’il se passe la vie avancera toujours avec ou sans vous, nos choix nous appartiennent.

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Grégory abordera les points suivants:

Quelle est notre attitude face à la vie? Avons-nous toujours une énergie débordante pour accomplir nos projets.
Ou faisons-nous face aux vicissitudes de la vie qui nous obligent plus à nous rétracter?
Est-ce que ce confort n'est pas paralysant et ne nous amène pas chaque jour vers un peu plus de confort?
Comment prendre de la hauteur sur nous-même et observer notre attitude?
Qu'est ce qui nous manque? Qu'est ce qui pourrait être mieux?
Comment je me vois? Quels sont les indicateurs qui me montre où je suis?

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Se comprendre pour bien S'orienter

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Je ne procrastine pas... je temporise

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On ne peut parler d'efficacité sans parler de la procrastination. Je pense vraiment que suivant la sensibilité, les intérêts et les aisances de chacun, tout le monde procrastine. En ce qui me concerne, s'était devenu un sport national. J'avais tendance à tout repousser au plus loin possible de sorte à ce que tout ce qui était important devenait ultra urgent. Quand j'étais étudiant, j'étais même fier de dire que je travaillais parfaitement bien dans l'urgence. Qu'il n'était pas nécessaire d'aller perdre son temps dans des cours ennuyeux et que c'était plus agréable d'aller flâner ici et là à refaire le monde. Ça avait le don d'agacer les bons élèves qui ne voyaient en moi qu'un jeune insolent pour qui la roue finirait bien par mal tourner. Ce n'est que bien plus tard que j'ai compris que nos négligences nous amènent toujours à en payer le prix. J'ai aussi compris, qu'au moment de régler sa facture, il y avait 2 façons de le faire: - Responsable: Avoir fait un choix conscient au préalable et être en mesure d'en supporter les conséquences sans trop de heurts. - Irresponsable: S'être laissé aller par faiblesse et finir par se prendre un mur avec des conséquences parfois désastreuses sur notre vie. Tout s'apprécie avec le temps ! Et c'est pour cela que j'aime beaucoup le terme TEMPORISATION plutôt que procrastination. Comme il s'agit d'être plus efficace, je vous expose une réflexion sur des profils de temporisateurs en espérant que cela vous apporte une certaine conscience apte à un changement positif.

Se développer ou régresser ?

par Grégory Petr • 18 avr., 2020

Vous êtes sur une trame de fond qui peut être ascendante ou descendante à vous de la voir. Je suis juste là pour la mettre en conscience. Ce delta peut être très fin. La progression linéaire de 1 n’existe pas. Vous êtes soit à 1,001% ou soit à 0,999% sur une échelle courte ça n’est pas perceptible mais uniquement sur le long terme.